HISTORIQUE DU CABINET

En 1996, Jean-Paul Teissonnière et Sylvie Topaloff,  chacun à la tête d’un cabinet individuel spécialisé en droit social, respectivement à Bobigny  et à Paris, se rencontrent sur le dossier de l’amiante.

Pendant plusieurs années, ils vont travailler ensemble sur des centaines de dossiers de victimes, en lien avec l’association nationale des victimes de l’amiante.
Leur idée est d’obtenir des réparations satisfactoires sur le plan civil mais aussi des sanctions pénales contre les responsables de cette catastrophe sanitaire qui provoque 2 à 3000 cancers mortels par an.

Lorsqu’en 2002, la Cour de Cassation donne une nouvelle définition de la faute inexcusable de l’employeur, consacrant également plusieurs années de combat judiciaire, ils créent un cabinet commun à Paris.

En 2005, leur collaborateur François Lafforgue devient leur associé. L’activité du Cabinet se diversifie mais demeure essentiellement concentrée sur la défense des victimes du travail dans tous les domaines de l’industrie et toujours en lien avec syndicats et associations de défense des victimes.

Un cabinet secondaire est créé à Marseille sous la direction de Julie Andreu qui devient  également associée en 2013, pour couvrir la région industrielle de Marseille Côte d’Azur.

En 2015, six collaborateurs sont associés dans une structure de type société SELARL : Hélène Aveline, Elisabeth Leroux, Nadine Melin, Cédric de Romanet, Cécile Labrunie et Marie Fleury.

Le Cabinet TTLA continue d’avoir un fonctionnement collectif, réunissant des compétences diverses au service exclusif de la défense des victimes.

La dimension militante est au cœur de son activité. Cela signifie réfléchir collectivement avec différents intervenants dans les dossiers (inspecteurs du travail, médecins du travail, ingénieurs, toxicologues, etc.) pour innover dans la défense des victimes.